Au contraire des l’équipe nationale de football, qui sont dans une stabilité assez bénéfique depuis quelques années. Le basketball sénégalais ne donne pas entière satisfaction. L’équipe féminine par exemple a été rarement aussi moyenne. Sur les récentes compétitions c’est tout simplement zéro trophées.
Un changement s’impose donc et ceci vient d’être fait. Un technicien espagnol va prendre en charge l’équipe. L’homme qui est âgé de 33 ans est carrément dans une logique de faire progresser l’équipe du Sénégal dont il rêvé selon les mots du DTN. Les termes de son contrat sont assez simple puisque le technicien voulait venir au Sénégal depuis longtemps. Du coup le directeur technique national (DTN) Raoul Toupane, après avoir statuer sur les termes de son contrat, s’est penché sur les objectifs à court terme. Tout ceci à l’occasion de la conférence de presse de présentation.
Voici toutes les déclarations du DTN !
« Il nous a montré qu’il était très motivé et prêt à s’engager. Nous avons dû calmer ses ardeurs. Ce n’était pas compliqué de le persuader, il a accepté toutes nos conditions parce qu’il aime l’équipe du Sénégal »
« On est souvent confronté à des difficultés dans notre travail. Aujourd’hui, notre niveau d’exigence en sport est très élevé, nous ne visons que la première place. Mais, toutes les conditions peuvent ne pas être réunies. Cela nous est arrivé dans le passe et nous avons dormi à l’aéroport. Si cela arrive encore, il faut que nous comprenons que la difficulté ne doit pas nous arrêter. Nous l’avons expliqué et il a compris. Parce qu’il est aussi un sélectionneur qui veut se faire connaitre ».
« On a un contrat d’objectif avec lui. La priorité est le TQO (tournoi de qualification olympique), s’il nous qualifie, ce sera lui qui nous conduira aux Jeux Olympique. Dans l’autre cas, on l’évoluera pour voir ce qu’il faut faire ».
« Il y a des incertitudes dans le planning de la préparation. Nous souhaitons regrouper les filles en décembre ici ou en Espagne. Si nous ne n’y arrivons pas, nous trouverons une autre solution. Parce que la majeure partie des filles sont en championnat à l’étranger. Lors de l’AfroBasket passe, seules 2 filles évoluaient dans le championnat local : Mathilde Diop et Couna Ndao. Et même avec elles seulement, nous me pouvons faire un stage. Il faut qu’on s’entraine en groupe pour avoir la cohésion. Nous misons donc sur Dakar, France ou Espagne. Si ce n’est toujours pas possible, nous irons au TQO directement. Et on fera un playbook avant pour les imprégner des systèmes. Elles ont la culture tactique pour comprendre. Il faudra faire des répétitions ensuite, on aura que 2 jours pour cela ».
Le reste des déclarations s’articule autour des prochaine listes des féminines, le DTN pense que les récents résultats seront très important et détermineront les choix.
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