L’affaire autour d’Ismail Jakobs, joueur initialement annoncé comme blessé mais finalement titularisé par Galatasaray, a eu un écho médiatique en France. Cette situation est comparée au cas de Kylian Mbappé, et la Fédération sénégalaise de football (FSF) a été louée pour sa gestion stricte.
Le site Maxifoot a titré : « Sénégal : un cas à la Mbappé géré avec autorité », tandis que Le Figaro a parlé de « libération forcée » concernant Jakobs. RMC Sport a décrit l’incident comme « une affaire Mbappé » où la FSF a imposé la disponibilité de Jakobs, malgré son annonce de blessure, à Galatasaray.
Football.fr a affirmé que « Le Sénégal donne la leçon à la France », en référence à une gestion perçue comme plus douce de la Fédération française dans le cas de Mbappé avec le Real Madrid. L’action de la FSF souligne sa fermeté croissante sur la scène internationale, notamment en ce qui concerne les obligations des clubs européens envers les joueurs internationaux.
Sports.fr a évoqué une « réponse cinglante » de la FSF, contrastant avec l’affaire Mbappé, en demandant la présentation de Jakobs pour vérifier sa blessure, conformément aux règlements. Cet événement montre la capacité de la FSF à défendre ses droits, tout en mettant en garde les clubs européens : les joueurs appelés doivent honorer leurs engagements nationaux, sous peine de sanctions.
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