Après la défaite contre Ipswich, Enzo Maresca a déclaré : « Nous nous attendions à ce genre de moment pendant la saison. »
Le manager de Chelsea, Enzo Maresca, estime que la baisse de forme de son équipe était inévitable après la défaite 2-0 contre Ipswich. Cette défaite à Portman Road marque la fin de l’année 2024 avec deux défaites consécutives pour les Blues, qui avaient perdu contre Fulham le lendemain de Noël. C’est la troisième fois consécutive que l’équipe de Maresca ne parvient pas à gagner, ce qui constitue sa pire série de la saison.
Interrogé sur le défi auquel il fait face après ces trois derniers matchs difficiles, l’Italien pense que cette baisse de forme était inévitable. « Nous nous attendions à ce genre de moment pendant la saison car nous savons que ce type de moment fait partie du football », a déclaré Maresca. « Il est presque impossible de passer toute une saison sans avoir un moment comme celui-ci pour nous. »
Maresca a ajouté : « En même temps, aucun d’entre nous dans cette salle ne s’attendait à ce que nous soyons là où nous sommes actuellement. Cela signifie et montre que nous sommes sur la bonne voie, comme je l’ai dit à plusieurs reprises, mais cela montre aussi que nous sommes loin de rivaliser et de maintenir la constance pour être parmi les meilleures équipes d’Angleterre. »
Il pense que son équipe doit être satisfaite de sa position actuelle, mais reconnaît qu’il y a encore beaucoup à améliorer. « J’aime analyser match par match. Ce soir, quand vous créez autant d’occasions, vous pouvez probablement mieux faire défensivement mais offensivement, il n’y a pas grand-chose à dire. Contre Fulham, je ne pense pas que nous ayons joué comme nous aimons jouer. »
Il évoque aussi le match contre Everton comme difficile pour tout le monde, et admet qu’en décembre, alors qu’ils ont remporté les cinq ou six premiers matchs, ils ont eu du mal à terminer le mois. « Nous arrivons probablement aussi à la fin du mois en nous sentant un peu fatigués. Nous avons terminé la première partie de la saison, nous allons commencer la seconde partie. Nous sommes contents de là où nous sommes mais nous savons que nous pouvons faire bien mieux. »