Pourtant avec un même nombre de point (22) avant le coup d’envoi du classico, les hommes de Xavi Hernandez ont débarqué à Madrid avec un léger avantage de goal différentiel au compteur. Les Merengues eux étaient rassurés de ne pas faire avec Thibaut Courtois dans les buts mais avec Antonio Rudiger convalescent dans la charnière centrale. Mais les poulains de Carlo Ancelotti ne trembleront pas.
Karim Benzema et sa bande vont entamer la rencontre dans la plus grande sérénité alors qu’en face Blaugranas doutaient d’entrée : difficulté dans la gestion de la balle et dans la défense en zone. Le Real Madrid en a bien profité de ces errements défensifs pour mettre Karim Benzema sur orbite pour ouvrir le score (1-0, 12′). Dans le tempo de cette domination, Federico Valverde se déjouera de ses vis à vis pour enfoncer le clou (2-0, 35′).
Au retour des vestiaire, le Barça s’est montré plus prudent et semblait surtout vouloir limiter la casse. Mais Lewandoski, Ansu Fati, Ousmane Dembélé se montraient de plus en plus dangereux mais sporadiquement. Il manquait une créativité pour faire bouger la grande muraille blanche.
C’est ce qu’à réussi Ferran Torres, bien servit par Lewandoski sur une passe à la Madjer, pour réduire le score (2-1, 83′ ). La classico semblait relancé mais le Barça était très court pour faire douter ce Real Madrid de va-t-en-guerre. Rodrigo concrétisera le penalty pour définitivement creuser l’écart au tableau d’affichage (3-1).
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