Pep Guardiola a réfuté l’idée que les importantes dépenses de Manchester City en janvier étaient motivées par la possibilité d’une sanction de transfert à venir. Actuellement, le club est en conflit juridique avec la Premier League, qui l’accuse d’avoir enfreint ses règles financières, accusations que le club nie. En janvier, City a dépensé environ 180 millions de livres pour recruter Omar Marmoush, Vitor Reis, Abdukodir Khusanov et Nico Gonzalez.
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Guardiola a justifié ces achats en affirmant que le club pouvait se le permettre grâce aux ventes de joueurs des dernières saisons. « Je ne suis pas d’accord » avec l’idée d’un embargo imminent, a-t-il déclaré. Il a souligné que sur les trois dernières années, City est dernier parmi les six premiers clubs en termes de dépenses nettes, même après ce mercato hivernal. « Nous sommes loin de Chelsea, United, Arsenal, Tottenham et même de Liverpool, » a-t-il ajouté.
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Guardiola a également mentionné qu’il attendait le verdict d’un panel indépendant sur les accusations portées contre le club, verdict qu’il espère avoir dans environ un mois. Par ailleurs, City a lancé un nouveau défi juridique contre la Premier League concernant les règles sur les contrats de sponsoring. Un panel d’arbitrage indépendant a déjà jugé certaines parties de ces règles illégales suite à une action en justice de City l’année dernière.
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