En Guinée, l’ancien président de la Fédération Guinéenne de Football, Bouba Sampil, réagit avec amertume à son éviction. Son comportement est perçu comme celui d’un mauvais perdant, prêt à voir l’institution décliner en son absence. Cette situation découle de la décision du comité exécutif, qui l’a démis de ses fonctions selon la procédure établie. Sampil, malgré une réputation controversée et peu de réalisations, avait réussi à obtenir des soutiens influents grâce à un contexte de méfiance général.
Ses partisans espéraient un changement positif, mais Sampil a déçu, conformément à l’avertissement de Machiavel sur les changements de leadership. Ses méthodes de gestion, jugées scandaleuses et autocratiques, ont mené à sa destitution. Sa popularité s’est effondrée au sein de la fédération, ce qui a conduit à un consensus sur la nécessité de son départ.
Malgré cela, Sampil continue de contester son éviction et pourrait semer le trouble au sein de l’institution. Sa gestion, jugée opaque et autoritaire, menaçait de détruire la fédération. Désormais, les nouveaux dirigeants doivent rester unis pour prévenir toute interférence néfaste de Sampil, qui pourrait avoir des répercussions graves pour le football guinéen et le pays.