La lutte sénégalaise traverse une crise sans précédent. Le ministère de l’Intérieur a décidé de retirer son soutien en matière de sécurité pour les combats. Cette décision radicale intervient après une série d’incidents violents lors des compétitions, transformant les arènes en véritables champs de bataille.
Le Comité national de gestion (CNG) de la lutte se retrouve dans une situation délicate. Sans la présence des forces de l’ordre, les combats ne pourront plus avoir lieu. Cela met en péril non seulement les événements, mais aussi les revenus qu’ils génèrent, à la fois pour les organisateurs et pour les lutteurs eux-mêmes.
Cette mesure est un ultime avertissement des autorités. La lutte sénégalaise doit maintenant choisir entre retourner à ses valeurs traditionnelles ou risquer de disparaître sans le soutien du gouvernement.
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