Le lutteur Ndiang Mballo, membre de l’écurie Door Doorat aux Parcelles Assainies, a été libéré après avoir été poursuivi pour plusieurs chefs d’accusation. Sa libération a été bien accueillie par ses proches et supporters, mais elle soulève des questions sur la responsabilité des personnalités publiques face à la loi.
L’affaire a débuté le 12 mars 2025 lors d’un contrôle routier dans son quartier. Conduisant un véhicule avec une plaque italienne, Ndiang Mballo a présenté une assurance expirée, ce qui a entraîné une tentative de mise en fourrière par la police. Il aurait résisté, blessant un policier et prenant la fuite, ce qui a conduit à sa traque et arrestation le 19 mars 2025.
Le procureur a qualifié ses actions de dangereuses, ce qui a conduit à une procédure judiciaire rapide. Les accusations comprenaient défaut de permis, outrage à agent et rébellion. Il a été condamné à deux ans de prison, dont six mois ferme.
Après quelques jours, on a appris sa remise en liberté, vue comme une nouvelle chance par certains, tandis que d’autres restent réservés. Son écurie devrait jouer un rôle clé dans sa réintégration. L’opinion publique est divisée entre compassion et indignation, mais il y a un consensus sur la nécessité d’un changement de comportement de sa part.
Ce séjour en prison pourrait marquer un tournant dans sa carrière, offrant l’opportunité de se réformer ou, au contraire, le risque d’une série d’erreurs nuisibles à sa réputation.