Il y a quelques jours, un ami d’enfance m’a contacté après des décennies de silence. Il m’a félicité pour ma reconnaissance nationale, tout en évoquant la simplicité de notre parcours commun. J’ai passé près d’un demi-siècle sous les projecteurs, en partie grâce à ma carrière sportive et mon implication continue dans les médias.
Mon ami me considère comme un homme d’affaires à succès dans le sport. Pourtant, même lorsque je jouais au football de manière professionnelle, j’ai dû diversifier mes activités par crainte de l’incertitude post-carrière. J’ai alors investi dans des secteurs variés sans formation formelle, mais toujours avec l’idée que le business m’assurerait un avenir prospère.
Pour beaucoup, je projette l’image d’un retraité sportif prospère. Cependant, malgré des décennies d’activité, je ne suis pas devenu millionnaire. Je suis souvent perçu comme un succès matériel, bien que je ne me considère pas comme tel.
Ces derniers jours, après un cours intensif de stratégie d’entreprise, j’ai réalisé que je pouvais être un modèle de ce qu’il ne faut pas faire en affaires. Mon manque de formation initiale et de mentorat a compromis mes chances de réussite.
En tant que membre d’une entreprise, StillEarth Holdings, j’ai eu l’opportunité de suivre un cours de trois jours qui a changé ma vision des affaires. J’ai compris l’importance de l’éducation formelle pour éviter les pièges et maximiser le succès dans l’entrepreneuriat.
Ma nouvelle mission est de préparer les jeunes talents, surtout dans le sport et le divertissement, aux réalités du monde des affaires. Je vais lancer un programme pour les jeunes athlètes de mon ancien lycée afin de les armer d’informations sur les pièges à éviter et les principes clés pour réussir matériellement.
Retourner en classe a été une expérience enrichissante qui m’a ouvert les yeux sur la nécessité de l’éducation continue pour assurer un avenir prospère après le sport.
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