Bira Sène ou Malick Ngom ? L’un de ces deux noms pourrait être le futur président du Comité national de gestion de la lutte (CNG). Quoi qu’il en soit, le nouveau dirigeant disposera déjà d’une importante subvention de l’État pour développer la discipline. Cette information a été révélée par Meissa Ndiaye, qui a indiqué que le CNG a obtenu une subvention de 500 millions de francs de l’État.
Le mandat de Bira Sène et son équipe à la tête du CNG a pris fin le 30 septembre dernier. Pour la succession, six candidats ont présenté leur dossier au ministre des Sports, parmi lesquels Bira Sène et Malick Ngom sont les favoris. Malick Ngom, arbitre international, bénéficie du soutien de nombreux lutteurs. Malgré cela, Meissa Ndiaye, premier vice-président du CNG et allié de Bira Sène, reste confiant quant à leur reconduction.
Ndiaye dépeint un bilan positif de leurs quatre ans de gestion et estime qu’une reconduction permettrait de poursuivre leur « plan-agenda » déjà commencé. Il affirme que leur projet se prolonge jusqu’aux Jeux Olympiques de la Jeunesse de 2026, et a débuté par des tournées de détection dans les régions. Le but est de sélectionner les meilleurs talents pour constituer une équipe nationale compétitive.
Meissa Ndiaye a également annoncé que le CNG a reçu une subvention de 500 millions de francs de l’État pour développer la lutte à travers le pays. Un projet de digitalisation et d’équipement du CNG, ainsi que de mise en place de conditions optimales pour l’équipe nationale, est aussi en cours, a-t-il ajouté.